Les Coupes, enfin retrouvées, restent fidèles à leur réputation : monumentales ! Entre les clubs, la bourse, les participants installés tout autour du circuit et les motos de prestige dans les box…, on a du mal à faire un tour complet en une seule journée. Cela dit, on note d’année en année un rajeunissement progressif du plateau avec de plus en plus de motos des années 70-80 et de moins en moins d’anciennes. Il faut avouer que les avant-guerre n’étaient pas gâtées par le programme de roulage avec quelques tours de circuit le samedi à 8h50 pour les plus de 175 cm3 puis à 8 h 30 et à 17 h 05 le dimanche. Il est dur de contenter tout le monde avec autant d’engagés, mais le résultat risque fort d’être une désaffection croissante des avant-guerre à Dijon-Prenois. Les Coupes marquent aussi un peu le pas ; presque, autant de participants que les années précédentes et plus de visiteurs selon l’organisation, mais, tous comptes faits, moins d’exceptionnel, ou peut-être suis-je blasé, car j’ai l’impression de n’avoir rien découvert que je n’avais déjà vu. Il faut dire que les Anglais étaient beaucoup moins nombreux et cela fait un sacré trou. On apprécie enfin la part belle faite aux petites cylindrées avec un circuit qui leur était spécialement réservé.
Côté course
Du côté des anciennes et des clubs
Grand merci pour ce beau reportage . N’ayant pu y venir cette année .
Il est vrai que les anciennes n’ont plus trop « le vent en poupe » et c’est regrettable , mais c’est ainsi , il va falloir s’y faire .
Merci encore et à l’année prochaine … mais en direct !
Serge
Merci et bravo pour ce reportage très précis ! Exceptionnel de professionnalisme !
Et oui, Pierre G nous a quitté en pratiquant sa passion pour toutes les mécaniques. Comme tous les comédiens veulent mourir sur scène… Paix à son âme et forces à sa fille accidentée pour la rééducation !
Bonjour,
Une manifestation qui commence à s’essouffler fortement malgré l’ouverture des roulages aux motos d’occasion.
3 series, la C, la L et la J qui présentaient le même style de moto alors que les avant guerre heritaient des pires horaires, ce qui montre bien l’attention portée par les organisateurs à cette période..
Au niveau visiteur, j’ai trouvé le dimanche bien calme.
Par contre j’ai trouvé que l’organisation des roulages (respect des horaires..) a été cette année optimisée malgré de nombreuses chutes.
Au niveau « découverte », je citerai pour ma part, la standard a moteur D50, la motosacoche A35, la majestic, la nougier 350 cc 4 cylindres et quelques autres dont un kreidler VanVeen « neuf ».
Pas sur d’y retourner l’année prochaine même si j’aime bien cet évènement.
Peut etre Varano en 2023 a la place.
Merci pour ces reportages remarquables.
La 350 Abidjan Nice est visible au musée Motobecane de Saint Quentin 02
le plateau rajeunit … mais ni toi ni moi, ça compense ! Mais tu t’es quand même régalé …
J’aimerais mettre en avant la qualité et l’excellent état du matériel présenté, comme on l’a constaté au contrôle technique, ainsi que le comportement des participants, encore plus serein qu’à l’habitude.
Une pensée et ma sympathie très attristée à la famille du side-cariste dont j’ai appris la disparition hier matin. Je forme des vœux pour le prompt rétablissement de sa fille, sa co-équipière, blessée dans l’accident
Une bien belle manifestation, que j’ai ratée hélas! Le rajeunissement du plateau est chronique et lié aussi au vieillissement de la population, c’est indéniable et c’est la logique des « motos de nos vingt ans »…
A noter toutefois cette année quelques tristes points noirs, l’accident d’un side-cariste sur le circuit , et quelques autres accidents parmis ceux en chemin pour se rendre aux coupes ou sur le retour. Toutes mes condoléances aux proches de ceux décédés dans l’accomplissement de leur passion.
Comme si j ‘ y étais merci pour ce reportage .
BELLE JOURNEE…votre petit reportage photos m’a plu,MERCI