Quelques tranches d’histoire de la moto
avec une forte prédilection pour ce qui est curieux,
innovant ou inconnu et les dernières nouvelles de notre petit monde
La Mars Blanche a 100 ans
Juste quelques photos pour fêter le centenaire de la « weiße Mars », la Mars blanche en français, une moto tout à fait révolutionnaire créée à Nuremberg par l’ingénieur Franzenberg en 1920, voici tout juste cent ans.
Pour l’histoire et tous les détails concernant cette 1000 cm3 très en avance sur son temps à cadre en tôle auquel est suspendu le moteur flat twin reportez-vous comme d’usage à la fiche qui lui est consacrée ICI.
Rare réunion de quatre Mars en 1922 dont un mouton, pardon, une Mars noire tout à fait hors normes, vraisemblablement une version spéciale "Polizei".
La Mars 1000 A20 était l'une des des meilleures grandes routières de son temps en Allemagne.
Devant un concessionnaire de la marque à Nürnberg,la ville natale de la marque. L'autre moto claire derrière les trois Mars A 20 est sans doute une D-Rad.
La Mars 1000 A20 de 1922 à l'honneur au musée Guggenheim de New York en 1998.
Le moteurs suspendu par un seul axe sous la coque rivetée en profilé d'acier.
Mars fait faillite en 1925, et la production est reprise jusqu'en 1930 par les frères Müller à qui nous devons cette version Sport de 1928 qui a troqué sa fourche originelle à biellettes et roue tirée pour une classique fourche type Webb à parallélogramme.
Bonjour,
En ce début d’année un article sur des motos blanches , soldes et mois du blanc dans les commerces , est parfaitement raccord.
Je vous souhaite une bonne année .
Gerard LAMBERT
Taquin, le Junior, en ce début d’année ….
Une grosse différence quand même, le cadre de la Mars est en tôle d’acier.
Superbe cette Midual avant l’heure !!!
Il y a quelques années il me semble que des répliques sûrement très coûteuses étaient proposées à la vente…
Bonjour,
En ce début d’année un article sur des motos blanches , soldes et mois du blanc dans les commerces , est parfaitement raccord.
Je vous souhaite une bonne année .
Gerard LAMBERT
Un tel compliment du maitre Bourdache, ça vous émeut !
Tout l’art du journalisme consiste à accrocher le lecteur par le titre de l’article : démonstration magistrale ici !