« Comment construire demain sans une bonne connaissance de son passé ». Fort de cette réflexion, Eric de Seynes, big boss de Yamaha Motor Europe et Executive Officer de l’usine mère au Japon, a réuni au siège européen près de l’aéroport d’Amsterdam, des exemplaires de la quasi-totalité des motos Yamaha importées en Europe, et une bonne partie des motos de course des GM aux MotoGP qui ont doré les diapasons de Yamaha.
Plus d’une centaine de motos, exposées dans deux grandes salles, mais il ne s’agit pourtant pas, malheureusement, d’une exposition ouverte au public, en revanche toutes ces motos sont à l’état de neuf, restaurées ou d’origine et ne demandent qu’à participer aux diverses expositions ou manifestation organisées de par l’Europe par les filiales, importateurs ou concessionnaires de la marque. Ouf, l’histoire est sauve et on reverra sûrement souvent quelques-unes de ces machines.
L’inauguration le 25 septembre dernier réunit une soixantaine de VIP de la moto, dont pas moins de six champions du monde, les principaux responsables de Yamaha Motor Europe, quelques journalistes et moi-même en tant qu’ancien product planner co-responsable de nombre de modèles de la Ténéré au T-Max en passant par la FJ 1100, et la TDM.
Photos François-Marie Dumas et Jonathan Godin (jonathan@jonathangodin.be
Bonjour,
Veinard !!!!!!!!!!!! vacciné aux deux temps pour moi Yamaha est la marque top dans ce type de motorisation que ce soit pour la route ou la competitionce sont les plus belles avec le plus beau bruit de 2 temps. Je n’oublie pas l’autre motorisation mais je suis plus selectif quant aux modeles. Je possède une DS5E de 1967 ainsi qu’ un des derniers modeles de XS et deux autres 2 temps à remonter. Bien que sophistiquées c’est tres plaisant d’intervenir dessus.
A la prochaine exposition de cette marque pourquoi pas m’inviter ( !!!! )
Bien motocyclistement.
Avec les collections mono-marque, tu es aussi obligé d’avoir les loupés et autres vilains petits canards, même si ça fait de bons sujets de discussions…
Il faut éviter qu’une collection comme ça prenne feu, certaines pétoires étant rarissimes. C’est le problème des concentrations, tout le monde se souvenant de l’incendie du musée national anglais. Bravo à Yamaha d’avoir monté ce conservatoire, malheureusement fermé au public.